Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

le blog d'Edmée - Page 396

  • Masters de Miami: cerise pourrie sur le gâteau pour les 30 ans de Wawrinka!

    nic6402896[1].jpgLe remake d’un bon film, c’est toujours raté. Mais que dire de celui d’un mauvais match! Franchement j'espérais avoir tort  en vous racontant que Wawrinka allait nous rejouer la vilaine farce d’Indian Wells à Miami! Même si je vous disais, histoire de conjurer le mauvais sort, que sa chute prématurée en Floride m’apparaissait grosse comme une maison.

    Hélas, ce fut le cas en dépit des bons vœux de Lüthi et Chiudinelli pour ses trente ans fêtés samedi. En tout cas une chose est sûre, le malheureux Vaudois n’a pas digéré le gâteau. Plutôt pourrie, la cerise en l’occurrence!

    Certes, il n’est pas tombé d’entrée, encore que le scénario ne fut pas loin de se reproduire, face cette fois à un nobody argentin, Carlos Berlocq, pointant à la 68e place mondiale. Mais, ce qui ne change dans le fond pas grand-chose, il a été sorti à son second tour contre le Français Adrian Mannarino, classé au-delà du trentième rang. En deux petits sets de surcroît. 

    J’imagine que ce brave Stan va nous répéter qu’il donne le maximum pour être au top. Et de nouveau se pencher sur son glorieux début de saison pour excuser ses récents errements coupables sur le court. Qui ne vont en plus pas améliorer son classement. C’est vraiment à se demander par quel miracle il a réussi à battre des cadors comme Nadal, Djokovic et Federer la saison dernière. Sans oublier les Tricolores en  Coupe Davis! 

    Il a été tellement pitoyable sur ses deux Masters américains qu’à mon avis Magnus Norman, que j’ai même vu bailler lors de la rencontre précédente de son poulain, doit sérieusement se tâter pour savoir si ça vaut la peine de continuer à se défoncer, pour entrainer ce Vaudois persistant dans sa stratégie d’échec.

    Lien permanent Catégories : Les pieds dans le plat
  • Masters de Miami: la menace d'un remake d'Indian Wells pour Wawrinka...

    Warwinka%20S%2052746[1].jpgIronstan affiche un poil de rouille, ce qui n’empêche pas ses fans d’avoir l’espoir chevillé au corps, manifestant un optimisme forcené quant à l'opportunité de leur idole d’affronter Murray en quarts de finale à Miami…

    A commencer par l’intéressé. L’an dernier il se déclarait très déçu de lui-même suite à son élimination en huitièmes de finale au Masters d’Indian Wells, pestant en invoquant à la fois la fatigue mentale et la nervosité.

    C'était tout le contraire il y a une dizaine de jours après sa défaite au… premier tour dans le désert californien.

    Wawrinka assurait en effet donner le maximum pour être au top à chaque tournoi. «Et c’est ce qui se passe», ajoutait-il en balayant son vilain match du jour. Avouez que notre brave Vaudois a quand même une drôle d’idée du pinacle. Pour lui le sommet s’apparente apparemment davantage à une montagne à vaches qu’à un 8000 mètres!

    Bref, Stan The Man nage en pleine confiance. Hélas, contrairement à lui, je suis particulièrement inquiète en ce qui concerne sa prochaine entrée en lice en Floride. Pour ne pas dire qu’une nouvelle chute prématurée m’apparaît grosse comme une maison, dans la mesure où il n'aura pas un modeste Néerlandais de l'autre côté du filet, mais risque de se retrouver face à l’un des deux redoutables «Special K» australiens. En l’occurrence le teen-ager Thanasi Kokkinakis, au bénéfice d’une wild card et qui a passé trois tours en Californie.

    De surcroît, Federer et Bacsinszky ne seront malheureusement pas là pour nous pimenter le tournoi à la sauce helvétique. La jeune Bencic devrait avoir bien du mal à se débarrasser d’Hantuchova et on connaît la fâcheuse tendances de Vögele, qualifiée pour le tableau principal, à solder ses premiers tours. Puisse le ciel de Miami me donner tort! 

     

    Lien permanent Catégories : Les pieds dans le plat
  • Grand écran: Will Smith tente de faire "Diversion". Essai non transformé!

    DIVERSION-le-film-FOCUS-movie-4-Will-Smith-Margot-Robbie-2015-Go-with-the-Blog[1].jpgAprès le flop du film de SF After Earth, Will Smith tente un retour gagnant grâce à Diversion. Le moins qu’on puisse remarquer, c’est que l’essai n’est pas franchement transformé…

    L’opus, qui compte comme principal titre de gloire d’avoir détrôné 50 Shades Of Grey lors de son premier week-end d’exploitation outre-Atlantique, est signé de l’inséparable tandem Glenn Ficarra et John Requa.

    Pour l’occasion, l’ex roi de Hollywood se glisse dans la peau de Nicky, prince de l’arnaque. Entouré des meilleurs dans le domaine, logique c’est lui qui les forme, le maestro craque pour l’une de ses recrues, aussi sexy que douée (Margot Robbie, qui donnait la réplique à Leonardo DiCaprio dans Le Loup de Wall Street). Mais il doit s’en séparer à son corps défendant pour rester au top. Eh oui, la blonde bimbo faite au moule le déconcentre un brin. Amour quand tu nous tiens…

    Trois ans s’écoulent et les amants (photo) se retrouvent par le plus grand des hasards au GP de Buenos Aires. La débutante donnant plus que jamais dans la femme fatale faussement hitchcockienne, a drôlement pris de la bouteille. Redoutable, elle risque de flanquer en l'air le super plan de Nicky. Toujours aussi fou de la belle, évidemment. 

    Moins convaincant et plus surjoué que ce couple de couverture pour magazine people bas de gamme, c’est difficile. Mais son côté toc et clinquant correspond au scénario recuit et à grosses ficelles d’une comédie romantique paresseuse, laborieusement mâtinée d'action et de thriller. 

    Se voulant, sans y parvenir, sophistiquée, bourrée d’humour et de suspense, Diversion, loin de le faire en l’occurrence, tente en plus vainement de désarçonner le spectateur à coups fumants d’escroqueries et de manipulations prétendument géniales, mais hautement improbables.

    25D7BA4900000578-2960972-Natural_Miss_James_said_she_did_have_to_squeeze_to_within_an_inc-m-16_1424396527657[1].jpgCendrillon façon Branagh

    A oublier aussi paraît-il, une énième adaptation de Cendrillon, conte revisité cette fois par Kenneth Branagh qui fait de l'héroïne une princesse en chair et en os. A noter toutefois que cette resucée kitsch avec Cate Blanchett dans le rôle de la méchante belle-mère de l'orpheline au cœur tendre (Lily James révélée par la série Downton Abbey), a enchanté le public américain lors de sa sortie.

    Cela n'a pas empêché cette version où le réalisateur  s'autorise quelques libertés par rapport au récit de Charles Perrault, de se voir très rapidement supplantée au box-office par le deuxième chapitre de Divergente: l’insurrection, depuis la semaine dernière sur nos écrans.

    Diversion et  Cendrillon à l’affiche dans les salles de Suisse romande dès mercredi 25 mars.

    Lien permanent Catégories : Sorties de la Semaine