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Federer, la Rolls de la raquette, raccroche. Le choc est planétaire. A la mesure de l'icône...

On s’y attend, on se demande quand il va l’annoncer, on n’y pense plus et puis c’est le choc. Planétaire. A la mesure de l’icône. Trahi, par son corps à 41 ans, Federer, modèle de suissitude, raccroche. Il va encore disputer la Laver Cup à Londres la semaine prochaine. Ensuite bye, bye, alors que certains spécialistes, l’espoir chevillé au corps à l’image de Rosset, étaient plus ou moins en train d’imaginer que Rodgeur, pourrait éventuellement gagner un autre  Grand Chelem. 

Que nenni, donc sans grosse surprise, il faut bien le dire, en dépit du talent de notre mythique gloire nationale, Il ne reste plus désormais qu’à rappeler, la larme à l’œil, son palmarès vertigineux, ses 20 Majeurs, ses 103 victoires sur le circuit, ses six finales ATP,  sa Coupe Davis, sa médaille d’or olympique en double avec Stan Wawrinka (il l’a quand même ratée en simple…), ses 310 semaines au sommet, les hommages de Wimbledon, de l’Us Open et de Roland Garros tweetant « La légende du tennis ».

De quoi donner du grain à moudre aux expert, se demandant s’il n’est finalement pas le plus grand et le restera, vu qu’il a révolutionné le tennis. Je sais, on va me rétorquer que ce sont de super potes et que l’Ibère est quasiment inconsolable, mais cela doit malgré tout  énerver Nadal avec ses 22 GC en poche . Et qui, tout en faisant mine de ne pas s’en soucier le moins du monde (c’est à peine s’il connaît le nombre de ses victoires,,,)  rêve tous les matins en se rasant d’égaler puis de dépasser Serena Williams, actuellement la véritable GOAT qui le nargue du haut de ses 23 couronnes, Sans parler de Djokovic, lui aussi devant l’orchidée noire (en Grands Chelems, en Masters 1000, en nombre de semaines au top), mais qui continue à passer pour un vulgaire chardon aux yeux des véritables connaisseurs du tamis. 

C’est dire si le Mozart de la raquette, demeurera le roi de cœur. Ce qui me fait une belle jambe. Car si, comme l’a relevé Nicolas Bideau, on a perdu un champion mais  gagné une légende, moi, j’ai paumé l’une de mes cibles favorites. Enfin, je peux encore compter un moment sur l’ogre de l’ocre et le vampire serbe. Parce que ce ne sont pas les joueurs français, tellement à la ramasse, qui vont m’inspirer.  Il est vrai que j’ai toujours ou presque eu plus envie de tirer sur les Rolls que sur les ambulances... 

Lien permanent Catégories : Les pieds dans le plat 1 commentaire 1 commentaire

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