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le blog d'Edmée - Page 521

  • Sortie cinéma: Twilight-Chapitre 5: Révélation 2 sonne la fin de la saga

    61322784[1].jpgPour les fans de la saga, il y a un avant et un aprèsTwilight. Comme pour ces milliers de gens, ados hystériques ou mères de famille ensorcelées accourus à Los Angeles, venus des Etats-Unis bien sûr, mais aussi de Grande-Bretagne, du Vénézuela, du Brésil, de France, d’Espagne, d’Australie, du Canada. Et qui, selon l’agence AFP, ont campé pendant des jours près du théâtre Nokia, au centre de la Cité des Anges, une salle qui accueille traditionnellement chaque mois de novembre les premières mondiales de la franchise.

    Les tentes s’étalent à perte de vue, car cette fois le phénomène touche à sa fin. C'est en tout cas ce qui se dit pour l’instant. Il paraît que si le cinquième chapitre signé Bill Condon cartonne un max lors de sa sortie planétaire, il n’est pas exclu qu’il y en ait un sixième. D’autant que cette Révélation 2e partie contient tout ce qu’il faut pour une resucée.

    Avec le soutien de son cher Edward et après la naissance de sa fille Renesmée, Bella s’habitue petit à petit à sa nouvelle existence de vampire. Elle a même développé des forces insoupçonnées, qui vont lui servir pour en découdre avec les Volturi. Ceux-ci, sentant leur espèce menacée par la naissance d’une créature d’un genre inédit, déclarent en effet la guerre à la famille Cullen. De leur côté, les Cullen rassemblent leurs alliés pour tenter de repousser sinon détruire les Volturi, harangués par le redouble Argo, lors d’un ultime affrontement. Les têtes vont voler à grands coups d'effets spéciaux.

    Après Fascination, TentationHésitation et Révélation première partie, l'eau de rose tente ainsi de faire place à l’action. Du moins au cours d’un spectaculaire  final d’une vingtaine de minutes. Laissant oublier le côté soap et soporifique de l’affaire, les trois héros Bella, Edward et Jacob se ruent au combat pour sauver la vie d’une petite fille, mi-mortelle par sa maman et mi-immortelle par son papa. A noter que d'après les connaisseurs, cet épisode a pris des libertés qualifiées de judicieuses par rapport au roman.

    En gros la chose se laisse voir, sans plus. Mais inutile de préciser que les inconditionnels n’auront cure d'une quelconque réserve et que rien ne les détournera de leur envie dévorante de voir une fois encore le couple mythique Kristen Stewart/Robert Pattinson, flanqué d’un bébé à croissance hyper rapide et de Taylor Lautner, le loup-garou body-buildé au regard louche et au gros nez de la série.

    Film à l’affiche dans les salles romandes dès mercredi 14 novembre 

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  • Masters: Federer, l'art de s'autodétruire...

    910836-15165861-640-360[1].jpgSi Federer misait sur une éventuelle fatigue de Djokovic en lui balançant Del Potro dans les pattes en demi-finales, il s’est lourdement trompé. Pas exsangue pour un sou, le vampire de Belgrade, bien au contraire! Il n’y avait que l’inénarrable Marc Rosset pour  trouver le nouveau patron du circuit un peu court physiquement et frileusement retranché en défense!

    Imaginez un peu la pâtée que le Serbe eût pu flanquer à ce pauvre Federer si d’aventure il eût été en pleine forme… Mais je n’en attendais pas moins du grand blond, qui n’a quand même pas cessé de nous bassiner avec ses théories fumeuses tout au long de cette semaine des Masters. 

    Malheureusement, je ne suis pas non plus hyper surprise par la défaite de la légende qui se plaît à nous interpréter à l’envi sa sempiternelle partition. A savoir se laisser battre sur son service alors qu’il possède deux balles de set ou de match, le pire cauchemar tennistique dans le genre pour ses fans demeurant la demi-finale ratée de l’US Open 2011.

    Sans oublier celle de Roland Garros de mai denier avec un break ou même un double break d’avance dans chaque manche. Là Djokovic dominé, quasiment dans les cordes, fut même à cinq reprises à deux doigts de perdre la première manche. Mais c’est connu, il n’y a rien de plus dangereux qu’un fauve blessé… 

    Alors certes la plupart des spécialistes de la raquette ne tarit pas d’éloges sur cette rencontre superbe, fantastique, splendide, admirable, où les deux adversaires se sont mutuellement poussés dans leurs derniers retranchements et qui s’est finalement conclue en deux sets avec un tout petit point de plus pour Dracula.

    J’avoue pourtant qu’au-delà d’un duel au sommet qui a vu ce brave Nole conforter sur le court sa place de numéro un conquise devant sa télé lors du tournoi de Bâle, j’ai surtout constaté la tendance de plus en plus fâcheuse de Sa Grâce à pratiquer en maitre l’art de l’autodestruction. En plus c’est ce que le phénix, attendant de renaître à Melbourne, a appelé jouer son meilleur tennis…

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  • Masters: le calcul de Federer va-t-il payer en finale?

    908403-15136674-128-96[1].jpgMême en regardant Federer rallier le dernier carré en quatre sets, j’étais assez loin de croire à sa victoire sur Murray, en principe porté par tout un peuple. Un peu à l'image de Djokovic, déclarant que désormais les finales des gros tournois se dérouleraient entre lui et l'Ecossais!

    Et il faut bien admettre qu’avant son match contre la belette, le king ne s’était pas montré spécialement royal face à des adversaires qui, de surcroît, n’étaient pas franchement à la hauteur de l’événement.

    S’il s’est logiquement plutôt bien débrouillé face à un Tipsarevic déjà au bout du rouleau avant l’entame des hostilités, le grand Rodgeur a en effet eu du mal à éliminer le petit Ferrer. Il confirmait une forme apparemment aléatoire lors de son dernier match de poule contre Juan del Potro, où il s’inclinait en trois sets.

    D'où la nervosité de Marc Rosset au micro de la RTS, qui manifestait son extrême inquiétude quant au potentiel fort diminué de la légende. Ce qui ne l’a évidemment pas empêché, le lendemain, de nous affirmer sans vergogne qu’il n’avait jamais douté des exceptionnelles qualités du meilleur joueur indoors. Et qu’on se rassure, il aura encore bien des occasions de jouer les girouettes aux côtés de Pascal Droz lors de la finale…

    Alors que dans le fond, le phénix a probablement et tranquillement concocté son scénario. Comme il ne lui manquait pratiquemnent qu’un set pour terminer en tête de son groupe, contrat rempli en gagnant la seconde manche, il n’est en effet pas exclu de supposer, après l’avoir vu soudainement et curieusement balbutier son tennis dans la troisième, qu’il ait simplement laissé l’asperge argentine remporter la rencontre. 

    Cela lui évitait dans un premier temps, imaginant avec raison Murray plus friable, de se mesurer au vampire de Belgrade en demie. Par ailleurs, del Potro semblait mieux à même de pousser le Serbe dans ses derniers retranchements que l’infatigable Ibère, même monté sur roulement à billes.

    Pas trop mauvais, le script. Certes, après avoir raflé assez facilement le set initial, la Tour de Tandil s’effondrait misérablement dès la moitié du second, minée sur ses bases par les coups imparables de Dracula. Mais on a pu constater quelques failles du côté du nouveau numéro un mondial, et il est envisageable qu'il soit un poil plus fatigué que s’il avait dû affronter la mobylette de Valence. Le calcul de Sa Grâce va-t-il payer? Réponse lundi sur le coup de 21 heures.

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