Ex-super-méchant repenti mais toujours aussi moche et désormais père de trois fillettes adorables, Gru a délaissé son laboratoire pour se recycler dans une usine à confiture. Un job qui l’emballe moyennement, jusqu’au jour où il est recruté par la rousse et sexy espionne Lucy. Et se lance dans une nouvelle folle aventure en l'aidant à traquer le Mal sous forme d'un mystérieux voleur d’un dangereux sérum permettant de redoutables mutations chez les êtres vivants.
Soignant particulièrementle graphisme, Chris Renaud et Pierre Coffin nous embarquent dans une course-poursuite haletante à la James Bond où ils multiplient gags et catastrophes sur fond d’humour burlesque et de trouvailles visuelles décoiffantes.
Aux côtés de Gru et de sa nouvelle équipière, on retrouve les fameux Minions. Irrésistibles et imprévisibles mini-créatures jaunes en salopette et au langage clownesque, ce sontles véritables héros de ce second volet très réussi. En 3D dont on se passerait toutefois, comme d’habitude.
La marque des anges avec le tandem poussif Depardieu-JoeyStarr
Commissaire à la retraite, Lionel Kasdan reprend du service après l’assassinat du chef de chœur de sa paroisse. De son côté Frank Salek, un agent d’Interpol au comportement excessif et brutal est sur la piste d’un trafic d’enfants dont il aurait été lui-même victime. Se rencontrant par hasard sur une scène de crime commune aux deux enquêtes, les deux hommes décident de faire équipe. Et plongent dans une affaire des plus sordides, remontant à la Seconde Guerre mondiale.
Pour son premier long-métrage adapté de Miserere, le dernier roman de Jean-Christophe Grangé, Sylvain White a réuni deux grandes gueules du cinéma français. Gérard Depardieu renfile son inévitable costume de vieux flic écorché vif, tandis que JoeyStarr joue sans surprise l’irascible au grand cœur. Du coup le tandem censé se révéler explosif pédale laborieusement entre bagarres et traques urbaines, dans une intrigue calamiteuse à connotation fasciste et aux dialogues bâclés.
Films à l'affiche dansles salles de Suisse romande dès mercredi 26 juin.
Dire que Man Of Steel cartonne aux Etats-Unis est un euphémisme. Dès sa sortie il a survolé le box-office américain avec un démarrage record. Un engouement qui laisse perplexe en regard de ce qui se déroule à l’écran. En sera-t-il de même ici? La réponse ne saurait tarder.
Frisant la trentaine, obsédée par la taille imposante de son postérieur (cruellement augmenté d’une prothèse pour les besoins du film), Joséphine déteste son boulot et apprécie modérément son boss, qui lui n’a d’yeux que pour elle. Enchaînant les coups d’un soir, elle court vainement après l’homme de sa vie. Sa seule consolation c’est qu’elle peut dormir avec Brad Pitt. Sauf qu’il s’agit de son chat….