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Wimbledon: un Italien de trop pour un Wawrinka pitoyable

132177_l-americaine-venus-williams-a-wimbledon-le-20-juin-2011[1].jpgCela m’apprendra à tenter le compliment. Pour une fois que je félicitais sans arrière-pensée Wawrinka de sa performance d'entrée de jeu à Wimbledon, allant jusqu'à le trouver plus convaincant que son maître Federer, j’en suis pour mes frais .

Il a en effet fallu que le pauvre homme me démente illico presto en s’écrasant misérablement devant l’Italien Bolelli, non seulement 116e mondial, mais repêché au troisième tour des qualifications. De quoi supposer qu’être affligé à la fois des syndromes suisse et vaudois ça ne vous facilite pas franchement la vie sur un court. Gazonné de surcroît...

La prestation de Stanislas fut encore plus pitoyable que celle, chez les dames, de l’aînée des Williams, qui affrontait la quadra Kimiko Date-Krumm. Tellement courageuse la petite Japonaise qu’elle aurait carrément mérité de rafler la mise, destabilisant comme jamais la  grande Américaine par ses coups aussi fins qu’intelligents.

Finalement Venus, même en n’en menant pas bien large, s’est pourtant logiquement imposée. Cela dit on ne sait pas trop ce que vaut vraiment cette victoire. Sa rencontre contre l’Espagnole Martinez en seizièmes de finale nous informera peut-être davantage sur sa forme et l’état de son tennis.

Mais au cas où la gazelle aux jambes interminables poursuivrait sa route vers les sommets, prions pour qu'elle ait de quoi s’habiller autrement. Parce que comme d’habitude elle provoque le buzz avec ses fringues. Toujours assez nulles d’ailleurs. Sinon fatales.

Il y a dix ans, à Melbourne, un excentrique deux-pièces avec un soutien-gorge totalement inadapté, d’où jaillissait un sein rebelle à chaque service, lui avait fait friser l’élimination au premier tour. Et fini par lui coûter la demi-finale au profit de Martina Hingis.

Après le style French Cancan à l’US Open, c’était l’ébullition sur le Central à Roland Garros l’an dernier, où Venus évoluait en robe de dentelle façon Moulin-Rouge, découvrant une culotte chair qui donnait l’impression qu’elle était cul nul. Notamment lors de ses ravageuses incursions au filet.

Rien de sexy en l'occurrence. Il ne reste pas moins à espérer qu’elle ne nous infligera pas tour après tour son accoutrement ridicule en forme de barboteuse croisée avec un baby-doll, avec manches pendantes incorporées genre fourreau pour bec de pélican frileux. Bref d’un moche, je ne vous raconte pas!

Lien permanent Catégories : A la volée

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