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Pour en finir avec nos "géants" des cimes

Juste deux mots à propos de cette désastreuse Coupe Davis, au cours de laquelle Pierre-Alain Dupuis et Marie-Laure Viola ont atteint le sommet du ridicule. Se gaussant d’une presse écrite mécréante, ils croyaient au contraire fermement aux chances de Wawrinka de terrasser Roddick, après sa victoire sur un Blake pourtant moribond.
Simple affaire de physique et de mental glosaient sottement les deux experts, assurant que question talent le Vaudois pouvait s’offrir le scalp du Texan une main attachée dans le dos…
Me faisant ainsi irrésistiblement penser à leurs homologues français irrités par les Tchèques. Qui, selon eux, ont battu des joueurs indéniablement plus talentueux mais indiscutablement minés par une ambiance déstabilisante…
Un chauvinisme échevelé propre à l’inénarrable Jaton
et au pompant «on va dire» Brugger. Fabrice ne cesse d’estimer que nos mâles de choc se plantent uniquement quand
ils ne peuvent développer leur puissance et leur génie sur des pistes trop faciles.
De son côté Marc refuse d’admettre qu’Aline Bonjour s’appelle définitivement Aurevoir. Et vient ingénument de qualifier Denise Feierabend de «petit joyau». Si la malheureuse se révèle de la même eau que le «diamant brut» grenat du ponte Pishyar, elle n’est pas près non plus d’étinceler de la
facette!
Bref. Avant les finales en Suède, nos farfelus nous ont bassinés avec ces Helvètes qui allaient rafler au moins cinq Globes de cristal. Deux pour Cuche (général et géant), ceux du super-G pour Défago et Fabienne Suter, celui de la descente pour Dominique Gisin.
Sans oublier la montée sur quelques podiums de Lara Gut, histoire de confirmer la déjà légendaire vitesse à l’allumage de la fusée de Comano…
Macache bono! La flèche des Bugnenets a réussi in extremis, la moindre des choses, à dominer le géant après un intempestif lâcher de bâton au départ de la première manche. Tellement concentré le Didier, qu’il a failli achever sa saison dans la purée! Ces prétentions revues nettement à la baisse n’ont évidemment pas empêché nos commentateurs de se pâmer follement, à l’image de Sa Logorrhée surexcitée par l’exploit de son dieu.
En attendant, cette façon hypersuisse de se laisser coiffer quatre fois au poteau sans gloire ne promet rien de bon concernant les visées de Federer sur un nouveau Grand Chelem. Pas grave, remarquez. Ses
récents détracteurs lui pardonnent tous ses forfaits depuis l’annonce de sa future paternité. A croire que c’est lui qui le porte, son mouflet!

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