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  • Federer out comme Hingis et Cuche. Mortifiant!

    Excepté Mc Sornette qui, juste pour me faire plaisir, se sent prêt à coiffer une nouvelle casquette, celle du mouton noir, nos champions ont décidé de me lâcher sans vergogne. Me laissant carrément vivre les jours les plus sombres de mon existence de fan de sport.
    A commencer par la consternante Martina Hingis, décidée à la rejouer grandeur et décadence à Indian Wells. S’ingéniant du coup à subir encore une fois la loi de Daniela Hantuchova.
    Ensuite évidemment, je pense à l’impensable. Eh oui, à la raclée de l’as des as. L’occasion d’ailleurs de découvrir que la victoire ne serait pas véritablement le propre de l’homme.
    Ce revers inattendu aurait en effet rendu E.T. humain, si je me réfère à la remarque de nos chers voisins, incapables de cacher leur joie à l’idée que le génie avait raté une marche de l’échelle céleste, et secrètement déçus que le barreau n’ait pas été pas scié par l’un de leurs champions d’opérette.
    Remarquez, on n’en était pas très loin, la Rolls du tamis ayant eu la chance dans son malheur d’être tamponnée par un tracteur du circuit, ex-paria de la raquette suspendu pour dopage il y a deux ans.
    Mortifiante défaite quand même pour le phénix, je l’avoue. Le pire a pourtant été évité, figurez-vous. Imaginez une seule seconde que Rodgeur se soit incliné en finale devant l’ombrageux Nadal, et le malheureux Bâlois, irrémédiablement privé de deux autres records, aurait aussi pu dire un adieu définitif à Roland Garros.
    Dans le genre fiasco, il y a également celui du Neuchâtelois préféré des Helvètes. Au risque de me répéter, je continue à me demander pourquoi Fabrice Jaton, après s’être lamentablement planté sur les chances de Berthod de rafler le globe de cristal du super-combiné, s’est acharné à cultiver bêtement le fol espoir de voir la flèche des Bugnenets remporter le général de la Coupe du monde.
    Et puisqu’on en parle du héros de Sa Logorrhée, je ne sais pas si vous avez regardé le documentaire que la TSR a passé la semaine dernière. Entre Cuche chez le docteur, Cuche en Amérique, Cuche dans un avion, Cuche dans sa maison, Cuche dans son auto, ou Cuche dans son hôtel, elle fut drôlement laborieuse la sortie de l’ombre du guerrier blessé!
    Enfin bref, j’espère que personne ne songera à tourner un film sur tous les Suisses qui galèrent dans leur sport. Ça nous en ferait des kilomètres de pellicule gâchée…
    Edmée

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