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  • Toujours ce sacré syndrome helvétique!

    Genève-Servette ne méritait pas ce triste sort étant donné son extraordinaire remontée au score, blablataient les experts de la TSR. Ben voyons! A croire que les supernazes de la crosse genevoise pouvaient prétendre
    à une victoire après leurs quatre pitoyables prestations.
    Pour vous faire une idée précise de leur infamant niveau, souvenez-vous que les Aigles (je me pince!) ont misérablement triché histoire de choisir leur adversaire. Mieux, ils n’avaient plus McSornette dans les patins depuis deux matches!
    Bien mal acquis ne profite jamais, donc. Une leçon que
    Big Mac aurait intérêt à potasser en vacances. Tant qu’il y est, il devrait aussi méditer sur le fait que rien ne sert de courir, au lieu de se ridiculiser
    bêtement à jouer les Federer d’opérette, en versant des
    larmes de crocodile sur son retentissant échec annoncé.
    Causer de Sa Grâce me force évidemment à évoquer son vil forfait en Coupe Davis. Et quand j’entends Roddick décrire sa fierté de jouer pour les
    Etats-Unis, Tsonga ou Simon se déclarer pareillement honorés d’en découdre, sans parler de Nadal avide de décrocher le Saladier d’argent pour son pays, j’ai franchement honte des mensonges que nous a débités notre prétendu parfait gentleman pour couper à l’épreuve. Au point que je ne suis pas loin de lui préférer Yves Allegro.
    Non seulement il chante, mais il a un humour décoiffant. Le joyeux drille ne pense-t-il pas sérieusement battre les frères Bryan les doigts dans le nez?
    Remarquez que dans le genre, il n’arrive pas à la
    cheville de l’inénarrable Fabrice Jaton. Cuche skie sur un nuage depuis quelque temps, clamait Sa Logorrhée aveuglée par son amour inconditionnel.
    C’eût été plus intelligent et fructueux qu’il restât carrément sur la piste, me disais-je
    in petto. Ça n’a pas loupé.
    Tirant sur le frein à main comme l’an dernier, le Neuchâtelois grand perdant de la descente de Kvitfjell, est déjà quasiment cuit pour le globe. A l’image, c’est encore moins étonnant, de son pote Défago. Toujours ce sacré syndrome helvétique, en somme. A cet égard d’ailleurs,
    le talent du siècle leur dame presque le pion, aux Didier.
    On ne ne lui en voudra pas d’avoir raté une manche,
    bavassait ainsi Marc Brugger.
    J’hallucine. Depuis Val d’Isère,
    il nous gonfle avec sa Lara Gut qui va bouffer du lion, alors qu’elle est reléguée plus souvent qu’à son tour derrière toutes ses compatriotes…
    Bref, entre le missile des Bugnenets et la fusée de
    Comano, ce n’est pas demain la veille qu’on va se retrouver sur orbite!
    Edmée

    Lien permanent Catégories : Les pieds dans le plat