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Queen's: en changeant le haut, Wawrinka banalise le bas!

le-suisse-stan-wawrinka-affronte-l-australien-nick-kyrgios-au-premier-tour-du-tournoi-londonien-du-queen-s-le-16-juin-2015_5359205[1].jpgLes fans des Helvètes redoutaient le pire. On leur avait annoncé à cor et à cri que Federer et Wawrinka, l’un à Halle, l’autre au Queen’s, avaient hérité d’un tirage coton dans leur préparation sur herbe pour les joutes dans les jardins de Wimbledon.

Exact pour la légende qui a eu toutes les peines du monde à se débarrasser de Kohlschreiber et n’a dû qu’aux erreurs coupables du malheureux Allemand la chance inouïe de se hisser in extremis au second tour du tournoi tudesque.

Rodgeur a en effet failli subir le sort de ce pauvre Nadal qui, après avoir réussi l’insigne exploit de battre tous les nazes à Stuttgart, y compris Monfils qui s’est comporté comme tel, s’est emmêlé fatalement les aiguilles dans la troisième manche qu’il venait pourtant de tricoter victorieusement aux deux tiers devant l’Ukrainien Dolgopolov. A mon humble avis, c’est râpé aussi bien pour le maestro que pour le pitbull dans une douzaine de jours chez Sa Majesté.

En revanche, rien de plus faux en ce qui concernait les difficultés imaginées pour Stan The Man, qui a au contraire bouffé l’un des Special K australiens, en l’occurrence le bombardier géant Kyrgios, en même pas 50 minutes. On eût d’ailleurs dit que le Suisse avait un express à prendre, tant il se pressait pour boucler ses jeux en un temps record. Mais ne nous emballons pas, on sait que Wawrinka peut nous refaire du Wawrinka des mauvais jours n’importe quand.

En attendant, il porte toujours son short rose à carreaux façon nappe de picnic, qualifié d’immonde de par la planète, mais néanmoins en rupture de stock. En réalité, comme le signalait avec raison (une fois n’est pas coutume) l’imbu de sa personne Aymeric Caron chez Ruquier samedi soir dernier, ce n’est pas tant le bermuda qui est moche que sa combinaison improbable avec un t-shirt nettement plus vilain. 

Et le chroniqueur de conseiller au nouvel ogre de l'ocre de porter une chemisette blanche avec sa culotte bariolée. Apparemment le Vaudois l’a écouté, puisqu’on l’a vu débarquer vêtu de la sorte sur le Central. Du coup en changeant le haut, le bas de Stanimal en devenait soudain carrément anodin, comme on peut en juger sur l'image ci-dessus. 

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