Euro 2016: l'arrogant Ronaldo maudit, tandis que l'équipe d'Astérix rate le coche (18/06/2016)

aronaldo.jpgPenalty lamentablement raté, but refusé sur hors-jeu, il était écrit que l’arrogant Ronaldo, particulièrement odieux avec ses potes de surcroît, n’en mettrait pas une. Voilà qui doit ravir le sélectionneur islandais et ses troupes, accusés par CR7 d’avoir une petite mentalité qui ne les mènerait à rien dans cet Euro!

En résumé, c’est franchement moche d’éventuellement priver les siens de huitièmes de finale pour le deuxième joueur du monde. Imaginez un peu où les Portugais en seraient si le beau Cristiano n’était que le troisième!

Juste avant, La Belgique avait heureusement suivi l’exemple de l’Espagne, décidant elle aussi de montrer son côté diabolique en terrassant logiquement et sans problèmes l’Irlande du Sud. Egalement par trois fois. Evidemment, on n’a échappé ni au gag sur le bol d’Eire ni à celui sur la frite…

Enfin, voilà une victoire qui n’a rien d’étonnant, étant donné les tombereaux d’éloges sous lesquelles on a noyé cette vaillante petite nation. En revanche, dommage qu’on n’ait pas eu droit à la surprise du jour, à savoir la victoire de l'équipe d'Astérix. Parce qu’il y a de ça chez ces irréductibles Islandais déterminés à résister encore et toujours à l’envahisseur.

A se demander quelle potion magique le druide Lars Lagerbäckix mitonne pour ses joueurs. Après avoir tenu tête au Portugal, ils se sont trouvés à deux doigts de se payer la Hongrie, qui s’est miraculeusement retrouvée à égalité à…cinq minutes de la fin du temps réglementaire pour ne pas changer les habitudes.

Mais dans le fond, je m’en moque de tout ça. Parce que la seule chose importante, c’est que la Suisse batte la France demain à Lille. Malheureusement, je n’arrive pas vraiment à y croire… Pour ne rien vous cacher, j’ai les mêmes doutes que ceux qui me taraudaient dans un précédent article à propos de Federer qui avait rallié le dernier carré dans son fief de Halle.

Et ce que je redoutais est hélas arrivé. L’octuple champion a encore subi la loi d’un gamin. Une semaine après Stuttgart et son élimination par le jeune Autrichien Thiem en demi-finales, notre gloire nationale s’est donc pareillement inclinée face au jeune Allemand Zverev. Du coup, je n’ose pas penser à Wimbledon, me demandant qui et à quel stade va à son tour cavalièrement marcher sur les plates-bandes du jardinier en chef…

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